dimanche 28 septembre 2008

coup de jeune pour xbox360 forever

vers la fin de l'année l'équipe "m@rc@ndrou et rom@no" vous propose des test de jeux en vidéo non je vous rassure pas avec une webcam mais avec un caméscope!

Exclusif création d'un FORUM

mon modérateur (et pote depuis toujours) Romain Varet allias "rom@no" et moi Flanquart Marc André allias"m@rc@ndrou" nous vous proposons d'aller découvrir notre forum qui parlera toujours de la xboite360 à cette adresse: http://www.xbox360forever.xooit.fr
Nous éspérons que vous viendrez nombreux!!!

Pour nous contacter:
(rom@no) :romain.duel.62@hotmail.fr
(m@rc@ndrou):m.flanquart@laposte.net

les meilleurs jeux de la xbox360

-Bioshock
-Lost Odissey
-Assassin's Creed
-Halo 3
-Mass Effect
-GTA IV
-Rock Band
-Dead RisingClassic
-Gears Of Wars
-Virtua Fighters 5
-Race Driver Grid
-Ninja gaiden 2
-The Orange BOx
-Guitar Hero III
-NHL 09
-Soul Calibur IV
-Devil May Cry 4
-Pure
Battlefield Bad Company
-Unreal Tournament.
Tout ce que vous avez besoin pour avoir une bonne excuse pour rester des heures devant votre 360!

la liste pour devenir le plus dangereux gamer de la 360

-Console xbox 360 Premium Forza 2
-PAD xbox 360 sans fil
-Cable XBOX 360 play charge kit
-Batterie rechargeable Xbox 360
-Xbox 360 live vision camera
Microsoft XBOX 360 WIreless Networking Adapter-Adaptader Réseau
-Oblivion
-Assassin's Creed
-Lost planet
-PES 2008
-Battlefield Bad Company
-GTA IV
-Call Of Duty 4: Modern Warfare
-Halo 3
-Half Life 2-The Orange Box.
Voila maintenant vous savez quoi demander pour noel! (lol)

test de Mass Effect


Qui n'a jamais rêvé de voyager dans l'espace ? De filer d'astre en astre à bord de son propre vaisseau, d'explorer des planètes reculées et de présider à la destinée de tout un peuple ? Au fond, le titre de Bioware est un rêve pour ceux qui ont toujours voulu se plonger au coeur d'un bouquin de SF, d'un Dune ou d'un Hypérion. Un livre interactif à l'histoire dense, complexe, multiforme, remplie de paysages fantastiques, de personnages attachants et de véritables ordures, le tout enrobé dans d'épais voiles de mystères que l'on devra percer pour le bien de tous, ou tout simplement pour le plaisir. Cet univers dont le coeur bat au rythme des batailles, des intrigues politiques et des traîtrises n'attend que vous. Et même si un soft aussi ambitieux ne peut aller sans son cortège de problèmes, comment ne pas remercier Bioware pour tant de travail et de générosité ?
Avec à leur actif des titres comme Baldur's Gate, Jade Empire ou le premier Knights Of The Old Republic, la réputation de conteurs des gars de Bioware n'est plus à faire. Et Mass Effect pourrait bien constituer leur plus grande réussite à ce jour. Le pitch de départ se montre pourtant classique, mais il est si savamment amené qu'on ne peut que se laisser emporter dans la tourmente. Il serait cependant idiot de vous ôter le plaisir de la découverte puisque Mass Effect est avant toute autre chose une superbe histoire de science-fiction. Nous nous contenterons donc des grandes lignes. Mass Effect nous plonge en 2183, soit un siècle et demi après que l'humanité ait découvert sur Mars les vestiges d'une ancienne civilisation extraterrestre. Cette découverte aura permis à l'Homme de faire un bond technologique spectaculaire, le rendant capable de dépasser la vitesse de la lumière et de se lancer à la conquête des étoiles. Depuis lors, l'humanité n'a cessé de sillonner l'espace, fondant de nouvelles colonies et rentrant en contact avec de nombreuses races extraterrestres, certaines pacifiques, d'autres moins. Jusque-là en somme, rien de bien original sous le soleil, mais c'est sans compter la patte de Drew Karpyshyn, scénariste officiel du jeu, qui nous aura même gratifiés d'un roman servant de prélude à l'oeuvre de pixels.

test de Smackdown VS Raw


Depuis le début des années 2000, THQ continue quasiment à lui seul de faire le bonheur des rares amateurs de cet art qu'est la simulation de violence. Et c'est avec une joie non dissimulée que nous nous équipons d'un slip moulant bien ridicule et d'une voix naturellement pleine de virilité avant de faire un énième tour sur le ring virtuel de WWE. Les corps de comédiens bodybuildés vont se mélanger devant les yeux ébahis d'un public qui ne cesse d'en redemander...
Les années se suivent et se ressemblent irrémédiablement pour la série WWE Smackdown Vs Raw. THQ et Yuke's Media Creation tranquillement installés sur un marché très peu concurrentiel profitent de la renommée de la franchise pour proposer une grosse mise à jour qui saura attirer l'oeil avisé des amateurs de catch. Ce qui ne veut pas dire que cette noble pratique faite de provocations et de coups spectaculaires ne plaira pas aux moins concernés par la discipline. La preuve, en dépit de mes connaissances plus que limitées en la matière (remontant en réalité aux bribes d'oppositions diffusées sur Canal+ il y a de cela quelques années, en fin d'après-midi, en discutant les restes d'un copieux quatre heures), le plaisir de jeu est là. Et ce, malgré des temps de chargements longuets pour ne pas dire interminables et parfois superflux, entre deux entrées de catcheurs. Imaginez le temps qu'il faut pour accéder à un combat mettant en scène 6 brutasses, la plupart du temps chevelues, si l'on prend le temps de respecter la saynète qui va les mener au ring, au beau milieu d'une salle en fusion...



Rarement la fébrilité nous aura autant gagnés au moment de glisser la galette dans les lecteurs PS3 et Xbox 360. GTA IV, le nom suffit à déstabiliser tant on s'est imaginé ce que pouvait cacher le jeu le plus attendu de l'année. Trois longues années et quelques mois après San Andreas, la série pose ses valises à Liberty City, métropole inspirée de New York déjà théâtre des évènements de GTA III. Mais la comparaison n'ira guère plus loin, ce nouveau volet revisite un lieu déjà culte, pour lui apporter le soupçon de vie et de mystère qui vont émerveiller plus d'un joueur. Un vaste terrain de jeu transformé pour l'occasion en véritable enfer. Place aux règlements de compte.

Taille et corpulence moyenne, barbe de deux jours, look banal et négligé, physique pas franchement avantageux... Niko Bellic n'a rien du héros qui roule des mécaniques et fait tomber ces demoiselles par dizaines. Aux antipodes de ce que dégageaient les Tommy Vercetti, Carl Jonhson et compagnie, le personnage que le joueur va incarner pendant plusieurs dizaines d'heures met de côté des clichés d'un autre temps. Rockstar a mûri avec sa série, plus inquiétante que jamais. Tout droit venu d'Europe de l'est, Niko rejoint son cousin Roman, installé à Liberty City, qui lui promet une vie tranquille et luxueuse, comme une retraite bien méritée. Un rêve américain qui, évidemment, va tourner court pour notre "homme des Balkans", rapidement confronté à une réalité plus sombre que celle que lui avait décrite ce bon vieux Roman. A son arrivée, Niko constate les dégâts. Une compagnie privée de taxi au business peu florissant, une chambre d'hôtes qui comprend tout juste le minimum... Pas de strass ni de paillettes, pas de belles carrosseries ni de strip-teaseuses, pas même l'ombre d'un logement décent. La chute est rude. Le tableau imaginé par Niko est assombri par les tâches accumulées par son cher cousin, spécialiste reconnu pour s'attirer les foudres de zouaves peu recommandables. Celui-ci a en fait besoin des rares talents que possède Niko pour mettre un peu d'ordre dans une vie menacée chaque jour...